Blog Officiel de la Direction Régionale du Tourisme et de l'Hôtellerie de Sikasso

  • Bienvenu, Welcome, Aw Bissi Milah!

    Sikasso la verdoyante, région carrefour, c'est-à-dire faisant frontière avec trois pays: la Côte d'Ivoire, le Burkina Faso et la Guinée Conakry.Son climat et son histoire très riche en événements, favorisent la pratique de plusieurs types de tourisme notamment le tourisme cynégétique,le tourisme culturel etc.

    Ces fruits et légumes témoignent de l'excellence du secteur agricole dans la Région de Sikasso. Aw Bissi Milah! Soyez les bienvenues à Sikasso! Welcome to Sikasso!

  • Sites Touristiques

    A cause de son climat, l’hospitalité de sa population, faunes et flores, riche culture, son passé historique, sa nature et ses monuments historiques, la région de Sikasso regorge d’énormes sites historiques et naturels pouvant attirer l’attention des visiteurs.

  • Hébergements

    La Région de Sikasso est très attractive pour cela, elle dispose d’importantes structures d’hébergement. La région totalise 44 établissements d'hébergement répertoriés avec 853 chambres et 965 lits. Parmi ces établissements un certain nombre sont classés selon les normes de la CEDEAO.

  • Fêtes Traditionelles

    Il existe plusieurs événements dans la région de Sikasso, qui ont un caractère rituel ou populaire. Ils célèbrent : le bonheur, les funérailles, la bonne récolte, la danse des masques, la bonne pluviométrie etc. Les dates des événements ne sont fixées que quelques jours avant, mais il faut retenir que les mois ou les moments sont connus pour beaucoup de ces évènements.

La région regorge d’énormes sites historiques et naturels pouvant attirer l’attention des visiteurs.


Le Cercle de Sikasso
 
*Cliquez sur l'image souhaitée pour l'agrandir*
Colline Mamelon
Tour d'observation
Mur du Tata
Grottes Missirikoro
Chutes Farako
Ferme de Thé Farako
Grottes noires Farafing
Résidence Kèlètigui
Centre Senoufo
Tunnel de Ouahibéra
Samory koulou
Fosse commune
Tombe Lieutenant Loury
Tombeau Massa Daoula
Tombe de Tièba
Marché hebdomadaire du Dimanche

1- Le Mamelon : au centre ville de Sikasso. A l’époque du royaume du Kénédougou, le Roi Tiéba fit construire sur cette colline d’environ 30 m de haut une maison à étage où il recevait ses hôtes de marque. Un puits qui servait de poudrière pour le Roi.
Après la prise de Sikasso, c’est sur cette colline que l’occupant, venu de la métropole, a planté le drapeau français.

2- La Tour d’observation : reconstruite par l’administration coloniale en dur, située au sommet du Mamelon. C’est là que la sentinelle montait la garde. Elle permet une vue panoramique de la ville.

3- Le Tata : Muraille en terre battue construite vers le 18ème siècle par Tièba et Babemba pour défendre la ville contre les agresseurs. La toute dernière enceinte avait un périmètre de 9,5 Km, épais de 6 m à la base, 2 m au sommet, d’une hauteur variant de 4 à 6 m et comptait 5 grandes portes verrouillées.
Grâce au Tata, Sikasso défia les troupes de Samory Touré et résista pendant une quinzaine de jours à l’assaut de l’armée coloniale française.
4- Les grottes de Missirikoro : Ce rocher d’environ 80 m de hauteur et situé à 12 km de Sikasso (au sud - Ouest), joue un rôle important dans la vie des populations en tant que lieu de culte et de recueillement :
- le bloc situé sur le flanc Est sert de lieu de culte aux animistes ;
- le bloc situé sur le flanc sud ouest est réservé aux musulmans (prière et recueillement des marabouts) ;
- le bloc ou vestibule, situé en haut, servait de réfectoire et de refuge aux populations en cas de guerre.
La légende rapporte que les rois de Sikasso n’entreprenaient jamais d’expéditions guerrières sans consulter les génies des grottes.

5- Les chutes de Farako : à 28 km de Sikasso, les chutes de Farako se présentent en escaliers dont les deux dernières marches sont les plus importantes. La dernière chute tombe d’une hauteur d’environ 2,5 m. Sur le lit gréseux, il y a eu formation de patines protectrices et de marmites souvent profondes. La chute est surtout impressionnante en saison de pluies (mois d’Août).
6- La ferme de thé de Farako : à 25 km de Sikasso sur la route de Bobo Dioulasso, la ferme de thé couvre une superficie de 102 hectares. Créée en 1966, elle produit en moyenne de 100 à 150 tonnes par an et met sur le marché des variétés de thé.

7- La Grotte noire ou « Fara fing » : Située à 10 Km du village, on y trouve une série de vestibules dont les plus importants ont une surface moyenne de 10 à 15m2 et une hauteur moyenne de 1 à 2m.
Une randonnée pédestre est faite pour traverser la forêt classée de Finkolo.
 
8- Le Palais de Kèlètigui : ancien chef de guerre de Mansa Daoula Traoré, Kèlètigui Kourouma Berthé fut le Commandant en chef des forces armées des rois Tiéba et Babemba Traoré. Le Palais est construit dans le style architectural de Djenné.

9- Le Centre de Recherche pour la Promotion et la Sauvegarde de la Culture Sénoufo:L’artisanat sénoufo y est représenté dans toute sa diversité. Des objets séculaires représentés permettent une étude anthropologique et ethnologique du peuple sénoufo :( des cassettes vidéo et audio), des documentations sur la vie quotidienne (baptème, funéraille, organisation de la famille, société des masques, linguistique) etc.

10- Le Tunnel de Ouahibéra ou Soïkpa: 
(8 km de la route RN7 et 20 km de Kaboïla)
Abri sous terre, le tunnel de Ouahibera est un village souterrain qui servait de lieu de refuge en temps de guerre. De nos jours, les excréments des chauves-souris y sont extraites comme engrais par les paysans.

11- Le Samory Kuruni et le Nankafali Kuruni: 
Sur ces deux collines se dressent dans le paysage urbaine de la ville de Sikasso deux monuments en souvenir de la page controversée du siège de Sikasso par Samory. Les deux ouvrages bâtis, chacun sur une surface de 8m² comprennent le piédestal en plateforme, le support (3m de haut) et personnage (4m de haut). Les supports sont ornés de Sofas en bas relief. Les constructions sont en béton armé pigmenté suivant les couleurs des effets d’habillement et objets associés.
12- La fosse commune : les victimes de la prise de Sikasso sous Babemba en 1898 ont été ensevelies dans une fosse commune de 21 m de long sur 11 m de large. A côté de la fosse repose également l’officier Français, le Lieutenant Loury.

13- Le Tombeau de Mansa Daoula : Le père de Tièba et fondateur de la dynastie repose à Bougoula-hameau, la première capitale, à 06km de Sikasso sur la route de Bobo-Dioulasso (Burkina FAso).



14- Le Tombeau de Tièba : fils de Mansa Daoula, devint roi en 1866. Il fit construire le Tata entre 1885 - 1887 et signa un pacte d’alliance avec la France. Le Fama (roi) fut inhumé dans une maison non loin de la rivière Lotio.

15- DIMANCHE MARCHE HEBDOMADAIRE DE SIKASSO:
Un marché très riche en couleur avec ses produits, ses denrées multiples et variées. 


Le Cercle de Kadiolo

*Cliquez sur l'image souhaitée pour l'agrandir*
Chutes Woroni
Porte du Soudan
Grottes Porte du Soudan
Colline Fakokoulou
Entrée Fakokoulou
Poissons sacrés de kébéni
Lac Kambo
Rivière aux Hippopotames de Lofigué
Cascades de Kandiambougou
Hypogées de Zégoua
Village de Kaï
Chutes de Woroni

Les chutes de Woroni : à 65 km de Sikasso, les pittoresques chutes de Woroni (deux ensembles) constituent l’une des plus importantes et intéressantes du Mali. Les eaux tombent d’une hauteur de 15 à 20 m, coulent sur un lit de rochers et forment des bassins comme une piscine au pied des rochers.

Les portes du Soudan : une chaîne de collines partant de Kebeni en passant par Siou et Woroni viennent former à Kodondougou les portes du Soudan. Ce sont deux blocs de rochers encadrant la route Sikasso - Bouaké en forme de porte.
Le colonisateur a baptisé ce passage “Portes du Soudan” car il marque la fin de la forêt et le début de la savane.

La mosquée naturelle en pierre de Fakocourou : Une chaîne de collines au niveau du village de Kebeni prend le nom de Fakocourou (la colline de Fako).
En plus de la mosquée réservée aux marabouts, se dressent (au sommet de la colline) des blocs de roches illustrant des formes humaines.

Les poissons sacrés de Kébéni : A 27Km de Loulouni, ils sont une colonie de silures vivant dans un marigot « Diego » dans sa section appelée « Dounfing » .
L’acceptation des offrandes par les silures, prouve que les vœux formulés par les visiteurs seront exaucés.
En cas de mort de poisson, tout comme les habitants, les obsèques sont aussi organisés.

Le lac Kambo Une grande étendue d’eau, où on peut entreprendre une partie de pêche à la canne, observer des oiseaux, contempler la nature verdoyante. On y trouve aussi des hippopotames. 

La Rivière aux Hippopotames de Lofigué ou Koin: (7 km du village de Lofigué et 12 km de Kadiolo).
Des hippopotames y sont visibles presqu’à tout moment et la pêche y est pratiquée.

Les caïmans sacrés du village de Katioloni :
Les caïmans sacrés de Katioloni se situent à 6 km du chef-lieu de commune et à 300m du village. Ces caïmans existent depuis la création du village. Ils vivent dans une mare dont le niveau d’eau diminue progressivement après la saison des pluies. Ces caïmans ne peuvent et ne doivent pas être abattus. En cas de rareté de pluie, lorsqu’on offre des poulets aux caïmans il pleut. Ils sont miraculeux et peuvent refuser la visite de toute personne mal intentionnée en devenant invisibles. 

Les Hypogées de Zégoua :
Des hypogées ont été découverts à Zégoua, chef- lieu de commune lors des travaux d’entretien près d’une colline.

Les Cascades de Kandiambougou: (4km de Nimbougou)
Le microclimat et la végétation luxuriante font de ce site une zone atypique. Plusieurs vergers l’entourent . 

Les poissons sacrés de Derbasso: (16 km de Kaï)
Ils sont d’une grande valeur culturelle. Poissons de couleurs particulières qui ne sont jamais cuits en cas de capture. L’acceptation des offrandes par les poissons, prouve que les vœux formulés par les visiteurs seront exaucés. 

Le Cercle de Koutiala

 
Grottes de Soukoumba

Grottes de Soukoumba

Grottes de Soukoumba

Grottes de Soukoumba

.... .... .... ....

Les cascades de Kaniko : situées à 12 km de Koutiala, les cascades brassent d’importantes quantités d’eau de pluies. Aux alentours se trouvent des espaces verts favorables à la promenade pendant l'hivernage.

Les caïmans sacrés de Ouolobougou : à 7 km de Koutiala et sur la route de Bla vivent des caïmans dans un cours d’eau. Ce sont des caïmans protecteurs du village.
Les Grottes de Soukoumba: Elles servaient de lieu de cache pour la population de Soukoumba en temps de guerre.
De nos jours on y trouve une source d’eau, et des armes cachées.

Le Cercle de Yorosso








....
Le village de Mahou : gros village bobo ou bwa, il a su conserver un style architectural original et impressionnant. Ce sont des maisons en banco aux toitures très basses construites dans un style architectural de type soudano-sahélien.

Les statuettes de la fécondité : au croisement de ruelles du village de Mahou se dressent deux statuettes. En immolant des poulets, elles résolvent vos problèmes de fécondité.


Le Cercle de Yanfolila


Barrage hydroélectrique de Sélingué
Lac de retenu d'eau de Sélingué
Pecherie au bord du Lac

Le barrage hydroélectrique de Sélingué:
situé dans la région de Sikasso à 140 km de Bamako et à proximité de la frontière guinéenne, est l'un des plus importants centres de production d’énergie du Mali. D’une puissance globale de 46 mégawatts, il produit annuellement environ 247 GWh (soit 28 % de la production malienne en 2006) et permet la distribution électrique de Bamako, Kati, Koulikoro, Ségou, Fana, Dioïla, Yanfolila et Kalana. Il a été mis en service en 1980 et réhabilité entre 1996 et 2001. Il est exploité par la compagnie malienne Énergie du Mali.


Le lac de retenue d’eau de Sélingué :
Lac artificiel de 409 km2 et 2,2 milliards de m3 situé à 130 km de Bamako.
Il a été créé par la construction du barrage hydroélectrique de Sélingué en 1980 sur la rivière Sankarani, un affluent du Niger.  
Les visiteurs peuvent entreprendre une promenade sur le lac, une partie de pêche à la canne, visiter les périmètres irrigués, le port de pêche. On y trouve aussi des hippopotames, environ 82 espèces de poisson reparties entre 46 genres, et 20 familles.

Le Cercle de Bougouni


Caïmans sacrés de Dissan

Caïmans sacrés de Dissan

Marre des Caïmans sacrés de Dissan

Tata de Faragouanran

Mosquée de Garalo au quartier Markala

Mosquée de Garalo au quartier Markala

3 grottes de Babougou

...

Le Fama de Diran : Un rocher blanc d’une dizaine de mètres de haut dont le sommet rappelle un homme, une femme et un enfant (35kms).


Le Tata de Faragouanran : à 37 km de Bougouni, c’est une muraille en terre battue, une fortification.

Les Caïmans sacrés de Dissan: à 26 km de Bougouni.
Une colonie d’environ 100 caïmans d’impressionnantes envergures vit dans un étang localement appelé Wattara.
Les caïmans sacrés seraient inoffensifs dans ce milieu ambiant pour preuve, tous les animaux s’y abreuveraient à l’exception du chien.
Selon la légende, le site serait très hospitalier car tous les bergers qui venaient faire abreuver les animaux trouvaient miraculeusement un repas qu’ils mangeaient sur place. Mais cette générosité a pris fin quand un jeune très curieux dont la mère est originaire du village de Dissan a transgressé le tabou en se cachant derrière un arbre pour pouvoir apercevoir l’être qui apporte le repas. Sa curiosité a débouché sur la découverte d’une jeune fille, très belle, sortir de l’eau pour poser le repas.
Depuis lors, aucun plat n’est offert aux bergers par les Djinns (esprits surnaturels).
Interdit tissu indigo, de couleur noire, rouge
Couleur recommandée pour la visite : Blanche
 

La pêche collective de Dissan : On fait des offrandes aux génies de la mare et ainsi les caïmans abandonnent l’eau pour laisser la place aux pêcheurs.


La mosquée de Garalo au quartier Markala

Édifice modeste en banco dont la construction remonterait à 1364. La mosquée est l’œuvre des Kané qui se disent originaires du Ouagadou. Son style est semblable à celui de la mosquée de Djingaraïber à Tombouctou. 




Les 3 grottes de Babougou

Caractérisées par une plus grande appelée « fanfanba » sur la colline appelée « Sèkèssèkènikoulou » et 2 autres moyennes. Servi de refuges aux communautés pendant les attaques des envahisseurs. La plus grande peut contenir un millier de personnes. Ces grottes sont des lieux d’extraction des excréments de chauve souris, excellents fertilisants dans l’agriculture.  

 
Le Cercle de Kolondièba

Tintrike

Tintrike : ce sont des poissons en pierre. Les crocodiles de Moron à 60 km de Kolondièba.


0 commentaires :

Enregistrer un commentaire